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#mardilecture

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Public *
Khaled Gaiji

J'ai lu le livre "Parents Efficaces" de Thomas Gordon. J'avais pas mal de soucis de communications avec mes enfants. Ce livre a clairement amélioré ma communication avec mes enfants mais il a en fait changé ma communication dans les domaines de ma vie (conflits et coopération). Ce n’est pas parfait bien sur mais j’ai beaucoup progressé. Je vous fais un (long) résumé.

Thread
1/23
#parents #enfants #education #conflits #ThomasGordon #mardilecture

Photo du livre "Parents efficaces"
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Lo

#MardiLecture Le miroir d'Œdipe, penser l'esclavage aux éditions du Seuil - Passionnant ouvrage de Paulin Ismard, historien de l'Antiquité et spécialiste de l' #esclavage. Ce que je préfère chez cet auteur est sa simplicité, aucun pédantisme, ce qui est rare chez les historiens de cette période. Nicole Loraux par exemple est très difficile à lire. Ismard pas du tout 😃
babelio.com/livres/Ismard-Le-M

BabelioLe Miroir d' dipe. Penser l'esclavage: Penser l'esclavage - BabelioCritiques, citations, extraits de Le Miroir d' dipe. Penser l'esclavage: Penser l'es de Paulin Ismard. Livre passionnant quoique pas toujours facile d'abord. L'approche com...
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PieR

«Les Immémoriaux» de Victor Segalen. Segalen, qui médecin de marine ira aux Marquises afin de secourir la population après un cyclone, découvre la culture océanienne et maori. (Il retrouve aussi les objets et peintures de Gauguin, décédé depuis peu, qu'il ramènera en France)
Il met en scène la rencontre entre missionnaires chrétiens et peuple maori, le choc culturel qui signel'arrêt de mort de cette magnifique culture.Nous suivons Terii, "diseur" maori, qui perd "les mots" #MardiLecture À lire !

PREMIERE PARTIE LE RÉCITANT Cette nuit-là comme tant d'autres nuits si nombréuses qu'on n'y pouvait songer sans une confusion - Térii le Récitant marchait, à pas mesurés, tout au long des parvis inviolables. L'heure était propice à répéter sans trêve, afin de n'en pas omettre un mot, les beaux parlers originels : où s'enferment, assurent les maîtres, l'éclosion des mondes, la naissance des étoiles, le façonnage des vivants, les ruts et les monstrueux labeurs des dieux Maori. Et c'est affaire aux promeneurs-de-nuit, aux haèré-po à la mémoire longue, de se livrer, d'autel en autel et de sacrificateur à disciple, les histoires premières et les gestes qui ne doivent pas mourir. Aussi, dès l'ombre venue, les haèré-po se hâtent à leur tâche: de chacune des terrasses divines, de chaque maraè bâti sur le cercle du rivage, s'élève dans l'obscur un murmure mono tone, qui, mêlé à la voix houleuse du récif, entoure l'ile d'une ceinture de prières. Térii ne tenait point le rang premier parmi ses compagnons, sur la terre Tahiti; ni même dans sa propre vallée; bien que son nom « Térii a Paraürahi »* annonçât « Le chef au grand Parler ». Mais les noms déçoivent autant que les dieux de bas ordre. On le croyait fils de Tévatané, le porte-idoles de la rive Hitia, ou bien de Véhiatua no Téahupoo, celui qui batailla dans la presqu'île. On lui connaissait d'autres pères encore; ou plutôt des parents nourriciers entre lesquels il avait partagé son enfance. Le plus lointain parmi ses sou venirs..
LES IMMEN la grande pirogue sans balancier ni pagayeurs, dont le chef nommait Tuti. C'était un de ces étrangers à la peau blême, de Pespèce qu'on dita Piritané parce qu'ils habitent, très au loin, une terro appelée « Piritania » (1). Tuti frayait avec les anciens Maltres. Bien qu'il eût promis son retour, on ne le vit point revenir : dans une autre ile maori, le peuple l'avait adore comme un atua durant deux lunaisons, et puis, aux premiers jours de la troisième, dépecé avec respect afin de vénérer ses os. Térii ne cherchait point à dénombrer les saisons depuis lors écoulées; ni combien de fois on avait crié les adieux au -Les soleil fécondateur. Les hommes blêmes ont seuls cette manie baroque de compter, avec grand soin, les années enfuies depuis leur naissance, et d'estimer, à chaque lune, ce qu'ils appellent leur âge présent»! Autant mesurer des milliers de pas sur la peau changeante de la mer... Il suffit de sentir son corps agile, ses membres alertes, ses désirs nombreux, prompts et sûrs, sans s'inquiéter du ciel qui tourne et des lunes qui périssent. - Ainsi Térii. Mais, vers sa pleine ado lescence, devenu curieux des fêtes et désireux des faveurs réservées aux familiers des dieux, il s'en était remis aux prêtres de la vallée Papara. Ceux-là sacrifiaient au maraè le plus noble des maraè de l'ile. Le chef des récitants, Paofai Tériifataü, ne méprisa point le nouveau disciple : Paofai avait dormi parfois avec la mère de Térii. L'apprentissage commença...
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PieR

#MardiLecture malgré tout !Ou justement, à cause de tout. "Les 7 Roses de Tôkyô", fini hier, est un livre merveilleux. Tout a la fois récit de la vie d'un Japonais ordinaire,entre 1945 et 46, fin de la guerre et occupation US. Un thriller s'y cache aussi.Un ode aux femmes,à leurs force, intelligence, résistance.Un petit traité de linguistique japonaise. Un témoignage sur la souffrance des peuples en guerre.Un rejet du militarisme et de sa bêtise.Une leçon d'optimisme,et de bonheur.
Ne pas rater!

INOUE Hisashi "Les 7 Roses de Tôkyô" Édit. Picquier.
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PieR

Mon #MardiLecture , "Plusieurs Vies", est thaïlandais. Jusqu'à ce livre de Kukrit Pramoj j'avais toujours été déçu par la littérature thaï. Cet ensemble de récits, avec un fil conducteur plutôt funèbre, met en scène le peuple thaï avec beaucoup de vérité,d'émotions et de justesse. Écrit dans les années d'après guerre,c'est une Thaïlande déjà ancienne, mais dont l'essentiel n'a pas disparu du coeur des Thaïs d'aujourd'hui. Un livre émouvant qui permet de découvrir une littérature trop méconnue.

S UR LA BERGE, dans la lumière rosée du soleil levant, les ca davres des noyés de la nuit étaient allongés bien droit, les uns près des autres, comme endormis depuis peu... Il y avait là des hommes, des femmes, des enfants, des riches qui voyageaient pour leurs affaires, des fonctionnaires, des bonzes, des gens de tous âges et de toutes conditions... Chacun avait pleuré, ri, aimé, souffert, chacun avait vécu à sa façon, mais tous étaient morts en même temps... Chacun s'était bien ou mal conduit, mais pourquoi ces vies-là devaient-elles finir au même moment, au même endroit et de la même façon ? » PHILIPPE LINSAC/GODONG En retraçant, depuis l'enfance jusqu'au naufrage final, onze de ces destinées, Kukrit Pramoj tente de répondre à cette interrogation foncièrement bouddhique. Il brosse avec une force et une liberté de ton surprenantes un tableau sai sissant de la société thaïe des années cinquante, transcendant l'exotisme pour atteindre à un humanisme universel. Roman traduit du thai par Wilawan et Christian Pellaumail. Préface de S.A. R. la Princesse Maha Chakri Sirindhorn.
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PieR

#MardiLecture Je commence à peine Le Dernier Shogun de Shiba Ryôtarô...

"Yoshinobu devint shôgun non grâce à sa naissance mais à ses talents, et, malgré son orgueil de guerrier, préféra la voie de la paix au tumulte des armes.
Il sera le dernier Shogun du Japon.
A travers sa carrière mouvementée se dessine le portrait attachant d'un homme solitaire, d'un shogun éclairé, d'un politicien visionnaire évoluant au milieu de nobles de cour décadents et de samouraïs dévorés d'ambition."

Certaines vies ressemblent à des romans. Ainsi en va-t-il de la vie de Yoshinobu, qui devint shôgun non grâce à sa nais sance mais à ses talents, et qui, malgré son orgueil de guerrier, préféra la voie de la paix au tumulte des armes. Yoshinobu fut, à la fin du XIXe siècle, le dernier shôgun du Japon féodal. Shiba - auteur de nombreux romans populaires historiques nous raconte ici les ultimes soubresauts d'un empire qui va s'effon drer, les rivalités de clans et les luttes de palais. A travers sa carrière mouvementée dans un monde en pleine mutation, se dessine le portrait attachant d'un homme soli taire, d'un shogun éclairé, d'un politicien visionnaire évoluant au milieu de nobles de cour décadents et de samouraïs dévorés d'ambition. Mort en 1913, le dernier shôgun a été le témoin de la naissance du Japon moderne, et vu l'ancien Edo devenir peu à peu ce Tôkyo nostalgique du début du xx° siècle, si magistralement décrit par Kawabata, Sôseki ou Kafû.
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PieR

Hé ho , il y aurait un Mastonaute qui pourrait mettre cet article en pdf accessible quelquepart ?
C'est un peu ancien, mais sait-on jamais ? #Orwell #MondeDiplo
Boost appréciés
cc @tonton_mollo que je salue 🌼
@redfrog aussi 🌟

Mon conseil #mardilecture est justement de G.Orwell :"Une histoire birmane",son premier roman paru en 1934 sous son vrai nom d'Éric Blair.
A ne pas manquer.L'ambiance irrésistible d'une petite ville birmane sous occupation anglaise.(dispo pdf : MP moi)

L'art de détourner Georges Orwell - le Monde Diplomatique de juillet 2019.
Public
Mouvement Colibris

#MardiLecture
📖 Dans cet essai, Vandana Shiva se confronte au 1% les plus riches dans le monde et dénonce le modèle de développement économique qu'ils ont créé.
Elle appelle à la « résurgence du savoir réel, de la richesse réelle et du travail réel », afin que chacun d'entre nous puisse revendiquer le droit à vivre librement.
▶️ Retrouvez ses ouvrages sur : www.colibris-laboutique.org/livres/345-1--9782374251790.html

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